Théo Guézennec collabore avec des groupes de Langourla, de Laurenan et d’Uzel. Au travers d’images romantiques des lieux traversés où se mêleront fiction et mémoire, il souhaite créer des liens entre les trois communes notamment en y organisant des événements.
Théo Guézennec sème le trouble en associant des images sans rapports apparents – documents d’archives, photographies personnelles, témoignages… Un travail de (re)mise en scène de l’image, une étrange relation avec les fantômes, une confrontation permanente entre le regard, la mémoire, l’imaginaire et l’oubli.
Le montage d’images lui permet ainsi d’ouvrir le champ d’interprétations pour que chaque spectateur vive une expérience différente.